Les joies du logis, Françoise Morvan & Irène Bonacina,
éd. MeMo, coll.Coquelicot, dés 5 ans.
Bon, déjà, les éditions MeMo, c'est tout un poème en soi. Par la beauté des éditions, l'épaisseur du papier, le soin apporté à la police, mais aussi par le choix des artistes et écrivains, même et surtout si "ce n'est que pour les enfants"! Ils prennent de vrais risques d'éditeur par convictions et amour du livre, comme cette nouvelle collection faite pour donner le goût de la poésie aux enfants à une époque où plus personne ne semble s'en soucier. Les deux premier livres de cette collection sont écrits par Françoise Morvan: La saga des petits radis, illustré par Florie Saint-Val et Les Joies du logis, illustré par Irène Bonacina que j'adore (c'est à elle qu'on doit Le voyage de l'âne). Ces deux livres sont exquis à mettre en bouche, un vrai délice d'élocution, un rythme et des rimes irrésistibles. D'ailleurs, je n'ai pas pu résister! Ni à le lire à voix haute, ni à le partager avec vous. J'ai choisi de vous lire Les joies du logis qui me permettait de faire des voix différentes pour chaque animal.
Je ne résiste pas non plus à partager avec vous les compliments reçus par l'auteur et l'illustratrice qui m'ont, toutes deux, gentiment envoyé un mail de félicitation.
"Bonjour, et bravo! Nous avons passé un heureux moment, André et moi, à vous écouter. Je vais mettre le lien sur la page de mon site que je compte consacrer à la poésie pour enfants dés que je serai de retour chez moi. (son site. Regardez en bas de la page...)
C'est merveilleux d'avoir une libraire aussi rigolote (et pleine de talent). On a envie d'écrire des livres pour vous permettre de les mettre en voix.
Bien amicalement.
Françoise"
" Bonjour Florence,
je suis l'illustratrice du petit livre de poèmes de Françoise Morvan, Les joies du logis, et j'ai découvert aujourd'hui votre lecture à voix haute avec les différentes voix d'animaux, c'est génial.
Bravo! Moi qui ai illustré le texte, je l'entends encore différemment quand vous le lisez.
Merci!
Amicalement.
Irène"
Alors, ça l'fait, hein?